sábado, 10 de novembro de 2007

Qui appelle sur ma fenêtre ?

Sur les rebords de ma fenêtre, j’écoute

Ce qui me paraît être un moineau blessé,

Et, en cherchant des yeux, je perçois

Au loin, un gémissement quelconque,



Qui me conduit jusqu’à la pauvre créature,

Pour m’approcher d’elle et la protéger,

Avec des gazes propres, en forme d’attaches,

Que son vol fit souffrir, là-bas, loin…



Enfin, penché sur le rebord de ma fenêtre, je découvris

Le pauvre animal avec une aile cassée,

Et prudemment, je l’ai approché de moi.



Presque fiévreux, j’enlevais tout ce qui était sur la table,

Et à l’endroit le plus éclairé,

Je lui fis un nid et je maintins la lumière allumée.

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